Dans le cadre de la réduction de l’insécurité et de la lutte contre le trafic illicite d’armes, la Commission de la CEDEAO a réuni lors d’un atelier, des experts indépendants en la matière sur les questions de maîtrise des armements, notamment la fixation des normes de possession par les civils, du 4 au 6 avril 2023, à Abuja, Nigeria.

Les objectifs de cet atelier étaient d’améliorer le contrôle des armes détenues par les civils et de présenter un guide sur l’octroi de licences d’armes aux civils dans les États membres de la CEDEAO.
Cet atelier a réuni des organisations de la société civile spécialisées dans la lutte contre les armes légères et de petit calibre (ALPC), des représentants de la Commission nationale sur les ALPC (Nat-Com SALW) des États membres de la CEDEAO, des membres du personnel de la Commission de la CEDEAO.

Au total, trois discours ont été prononcés lors de la cérémonie d’ouverture.
Représentant la GIZ, Mme Phidelia Amey, responsable de composante du projet OCWAR-T, a félicité la CEDEAO pour son engagement dans la lutte contre les ALPC puis a réaffirmé la disponibilité de son organisation à accompagner la CEDEAO dans ses actions.
Dans son discours d’ouverture, le Directeur adjoint de l’UNREC, le Dr Jiaming Miao, a salué les efforts de la CEDEAO pour remédier à cette situation de traffic des armes, qui ravage de nombreuses vies dans ses pays membres, soulignant que la collaboration doit être renforcée entre toutes les parties prenantes pour garantir un large éventail de résultats.
M. Joseph Ahoba, Chef de la Division des armes légères, représentant l’Ambassadeur Abdel-Fatau MUSAH (PhD) Commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de la Commission de la CEDEAO, a souhaité la bienvenue aux participants à la réunion d’experts techniques sur la possession d’armes civiles et l’octroi de licences à Abuja et a remercié le cabinet FABA Consulting, l’UE et le gouvernement allemand pour leur soutien. Avant de déclarer la réunion ouverte, il a en outre noté que la prolifération des ALPC aux mains des civils augmente le risque de violence. Cependant, réglementer leur possession peut limiter la létalité associée à ces armes et favoriser la sécurité humaine.

Cet atelier de trois jours s’est achevé avec succès. Les participants ont félicité la CEDEAO pour la mise en œuvre de cette plateforme et ont exhorté toutes les parties prenantes à soutenir le nouveau régime réglementaire, réduisant ainsi l’accès aux armes par les acteurs non étatiques.

Avec la La CEDEAO engage des experts indépendants pour examiner l’étude sur la possession d’armes par les civils dans la région.

Dans le cadre de la réduction de l’insécurité et de la lutte contre le trafic illicite d’armes, la Commission de la CEDEAO a réuni lors d’un atelier, des experts indépendants en la matière sur les questions de maîtrise des armements, notamment la fixation des normes de possession par les civils, du 4 au 6 avril 2023, à Abuja, Nigeria.

Les objectifs de cet atelier étaient d’améliorer le contrôle des armes détenues par les civils et de présenter un guide sur l’octroi de licences d’armes aux civils dans les États membres de la CEDEAO.

Cet atelier a réuni des organisations de la société civile spécialisées dans la lutte contre les armes légères et de petit calibre (ALPC), des représentants de la Commission nationale sur les ALPC (Nat-Com SALW) des États membres de la CEDEAO, des membres du personnel de la Commission de la CEDEAO.

Au total, trois discours ont été prononcés lors de la cérémonie d’ouverture.

Représentant la GIZ, Mme Phidelia Amey, responsable de composante du projet OCWAR-T, a félicité la CEDEAO pour son engagement dans la lutte contre les ALPC puis a réaffirmé la disponibilité de son organisation à accompagner la CEDEAO dans ses actions.

Dans son discours d’ouverture, le Directeur adjoint de l’UNREC, le Dr Jiaming Miao, a salué les efforts de la CEDEAO pour remédier à cette situation de traffic des armes, qui ravage de nombreuses vies dans ses pays membres, soulignant que la collaboration doit être renforcée entre toutes les parties prenantes pour garantir un large éventail de résultats.

M. Joseph Ahoba, Chef de la Division des armes légères, représentant l’Ambassadeur Abdel-Fatau MUSAH (PhD) Commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de la Commission de la CEDEAO, a souhaité la bienvenue aux participants à la réunion d’experts techniques sur la possession d’armes civiles et l’octroi de licences à Abuja et a remercié le cabinet FABA Consulting, l’UE et le gouvernement allemand pour leur soutien. Avant de déclarer la réunion ouverte, il a en outre noté que la prolifération des ALPC aux mains des civils augmente le risque de violence. Cependant, réglementer leur possession peut limiter la létalité associée à ces armes et favoriser la sécurité humaine.

Cet atelier de trois jours s’est achevé avec succès. Les participants ont félicité la CEDEAO pour la mise en œuvre de cette plateforme et ont exhorté toutes les parties prenantes à soutenir le nouveau régime réglementaire, réduisant ainsi l’accès aux armes par les acteurs non étatiques.

Avec la CEDEAO 

Un recours consécutif à la victoire avec un  score cumulé (2-0, aller et retour ) des Syliyorè  aux dépens  des Olympic Eagles, synonyme de qualification à la CAN des U23 prévue au Maroc et, éventuellement aux jeux olympiques de Paris 2024.

Le recours concerne l’arrière- gauche Fodé Camara ( PAE chania) qui aurait dépassé 23 ans et que la Guinée a fait jouer lors de la double confrontation le mois dernier entre les deux nations de l’Afrique de l’Ouest.

Si la Confédération panafricaine de football confirme le recours du Nigéria, la Guinée serait disqualifiée et le Nigeria repêché pour la suite de la compétition.

Naby Laye Youssoupha 

Le don servira à soutenir particulièrement la préparation d’un Plan d’action de réinstallation pour le Projet de gestion du bassin versant du barrage de la gorge de Challawa ; à financer un plan d’engagement des parties prenantes, un mécanisme de redressement des griefs et des consultations des parties prenantes impliquant les communautés riveraines et la Commission du bassin du lac Tchad qui comprend le Cameroun, le Tchad, le Nigéria et le Niger. Le projet sera mis en oeuvre sur une periode de huit mois

Le Fonds fiduciaire du bassin de Hadejia-Jama’are-Komadugu-Yobe est chargé de la mise en œuvre du projet. Ce fonds fiduciaire est financé conjointement par six États : Bauchi, Borno, Jigawa, Kano, Plateau et Yobe, en collaboration avec le gouvernement fédéral du Nigéria.

Soulignant l’importance du programme, Lamin Barrow, le directeur général du bureau de la Banque africaine de développement au Nigéria, a affirmé que le projet permettrait d’assurer la sécurité de l’eau à long terme pour les populations locales.

Soulignant l’importance du programme, Lamin Barrow, le directeur général du bureau de la Banque africaine de développement au Nigéria, a affirmé que le projet permettrait d’assurer la sécurité de l’eau à long terme pour les populations locales.

« Le programme de développement des ressources en eau polyvalentes de Komadugu Yobe soutiendra le développement socio-économique, l’amélioration des moyens de subsistance et la durabilité environnementale », a souligné M. Barrow.

Hassan Bdliya, secrétaire exécutif du Fonds fiduciaire du bassin de Hadejia Jama’are Komadugu Yobe, a remercié la banque pour son soutien continu à la gestion durable des ressources en eau dans le bassin de Komadugu-Yobe.

« Nous sommes très reconnaissants envers la Banque africaine de développement pour son soutien, a déclaré M. Bdliya. La banque nous soutient depuis 2016. L’impact de son soutien a été énorme. La mise en œuvre de ce projet aura un impact positif sur les populations du bassin de Komadugu-Yobe. Le Fonds fiduciaire du bassin de Hadejia Jama’are Komadugu Yobe travaillera avec diligence en collaboration avec toutes les parties prenantes pour assurer l’achèvement des études dans les délais impartis ».

Le programme d’investissement pour le développement des ressources en eau polyvalentes de Komadugu Yobe est une priorité absolue du gouvernement fédéral en raison de ses immenses avantages à long terme pour les habitants des six États riverains du nord du Nigéria. Il s’inscrit également dans la droite ligne du programme de développement du pays, notamment du Plan de développement national à moyen terme (2021-2025) et de la Vision 2050.

Créé en 2006, le Fonds fiduciaire du bassin de Hadejia-Jama’are-Komadugu-Yobe est une plateforme innovante d’intervention conjointe des États riverains, avec le soutien du gouvernement fédéral pour renforcer les agences d’exécution dans la résolution des problèmes liés aux ressources foncières et hydriques du bassin de Komadugu Yobe.